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  • « Savoir ce que l’on ne veut pas, c’est le meilleur moyen de rêver sa vie, savoir ce que l’on veut, c’est la voie royale pour vivre ses rêves. » Coaching by Laura Calabrese
  • «Du questionnement et de l’accompagnement pour vous aider à trouver les réponses en vous » Coaching by Laura Calabrese
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Croire en l’éléphant

Ecrit par admin sur . Publié dans Coaching, Coaching de Vie

Croire en l’éléphant

Croire en l’éléphant qui vous dit que rien n’est facile mais tout est possible. Mais comment ?

… Peut-être en y croyant 🙂coaching Neuchâtel

Mais comment faire pour croire qu’un éléphant peut s’asseoir sur une branche ?!

… En changeant de perspective et de point de vue de notre possible.

Ne pas croire en l’éléphant

N’avez-vous pas déjà entamé une journée en vous disant qu’elle allait foirer ? Et, le résultat ? A la fin, vous avez constaté que vous ne vous êtes pas trompé! (hi, hi, trompé…éléphant).

A chaque fois que vous prévoyez le pire, c’est malheureusement très rare que le meilleur arrive…

Croire que tout est possible

Alors pourquoi ne pas tenter de se dire l’inverse et y croire ? Quand vous le tentez, vous êtes souvent beaucoup moins décu-e.

Qu’est-ce que cela signifie donc? – Qu’il est possible d’avoir la volonté et le choix de la perspective que nous voulons adopter…

Celles et ceux qui trouvent facilement une place de parking en plein samedi dans une ville en fête ne diront pas le contraire: c’est toujours le même mécanisme. Croire que c’est possible, et que ça va se réaliser, augmente énormément  les probabilités de la réalisation de mes possibles.

Comment changer de perspective?

Quand nous désirons quelque chose, notre premier réflexe est souvent de voir toute la difficulté des étapes qui nous en séparent. Et, alors, notre volonté s’affaiblit, notre croyance vacille et, souvent, nous restons dans la peur et dans la frustration. Notre croyance d’y arriver va et vient et se mêle à nos doutes d’y arriver.

Croire en l’éléphant, ça fonctionne ainsi:

  1. Se fixer un objectif ou un souhait le plus précis possible et le visualiser, voire le ressentir
  2. Une fois celui-ci fixé, cibler ses énergies vers la réalisation de ce dernier, dans l’action et dans la confiance
  3. Transformer les étapes qui nous paraissaient difficiles, en actions, en rendez-vous dans l’agenda, etc.
  4. Si et/ou quand le doute ou la peur devait revenir, tenter de revenir dans la confiance

Tenter…car oui…rien n’est facile…

Mais qui ne tente rien, n’a rien 🙂

Votre agenda au ressenti

Ecrit par admin sur . Publié dans Coaching de Vie

Votre agenda au ressenti

Ancrez votre agenda dans la réalité – votre réalité

coaching de vie

La principale question à se poser est la suivante: votre agenda est-il ancré dans la réalité – votre réalité ?

Ou s’aligne-t-il à la théorie de ce que nous devrions remplir ? Remplir pour:

  • montrer notre performance, notre sérieux
  • ne pas avoir le regard des autres sur votre agenda (si vide, avec plein de trous, cela pourrait vouloir dire que vous n’êtes pas occupé, pas sérieux, pas digne de confiance).

Si votre agenda est ancré à votre réalité, cela signifie qu’il respecte votre biorythme, votre niveau d’énergie, de fatigue et votre niveau de contenu/charge à gérer au moment x dans votre agenda.

Qu’est-ce que ça veut dire ?

A chaque fois que vous allez fixer un rendez-vous, une tâche dans votre agenda, vous allez vous projeter dans ce moment x. Ensuite, prenez en considération la journée, la semaine d’avant, et, considérant la journée à vivre, regardez également la journée et la semaine qui suit. A ce moment-là,  évaluez votre niveau d’énergie, de concentration et de motivation. Car oui, vous avez le droit d’être moins motivés parfois. Ce rendez-vous peut-il se caler quand vous prenez tout ceci en considération? Oui? Non? A vous alors de le déplacer et de le mettre à un autre moment.

Les fameuses réunions

Oui mais, vous me direz, toutes ces réunions que l’on me fixe…Que faire ? Vous savez tous et toutes qu’au fond de vous, vous pourriez challenger, questionner chaque réunion:- A quoi sert-elle? Ma présence y est-elle nécessaire? Qu’est-ce que cette réunion nous rapporte? Nous permet-elle d’avancer? Devons-nous la raccourcir? En faire un standing meeting (meeting debout, maximum 15 minutes – je vous assure que vous irez plus rapidement à l’essentiel 🙂 )? Questionner le nombre de participants et l’adapter à chaque fois différemment selon les sujets à travailler?

En un mot, challengez les invitations qui vous viennent et allez questionner leur finalité,leur durée, et surtout les objectifs qu’elles permettront d’atteindre et si votre présence et votre apport est bien défini. Si c’est le cas pour ce dernier, cela signifiera que vous devrez également agender la préparation de cette séance et, après celle-ci, le suivi en  actions qui en découleront.

Bienveillance et ressenti corporel

Comme vous voyez, il y deux éléments principaux qui ressortent de tout cela:

  1. Respecter votre biorythme avec bienveillance
  2. Écouter votre ressenti intérieur, corporel, votre intuition

Si vous êtes coupé à la fois de ces deux éléments, alors vous retournerez dans un engrenage sans fin d’un agenda qui vous oppressera, dont vous serez le serviteur. N’avez-vous pas envie de maîtriser votre temps et donc votre agenda? Ancrez-vous à votre réalité, à votre ressenti et avec bienveillance.

Votre Biorythme

Mais à quoi ressemble votre biorythme? Sur une feuille, dressez un axe horizontal du temps représentant votre journée depuis l’heure du lever à l’heure de votre coucher de façon générale. Sur un axe vertical de performance où vous mettrez un niveau à 100% (quand vous êtes concentré, en forme, focus). Et regardez la courbe que vous avez, qui sera différente de tout un chacun: est-ce que vous êtes du matin ? de l’après-midi? du soir? avez-vous besoin d’une pause courte ou longue à midi? Et besoin en terme de ressenti bien sûr! et pas dans votre tête à vous dire « mais si je dois être performant » et selon le regard des autres…vous avez bien compris.

Une fois que vous avez dressé votre biorythme, regardez à quoi ressemblent vos journées. Et à quel moment vous avez mis des rendez-vous et des tâches qui vous demandent beaucoup de concentration. Si elles tombent dans un moment où vous êtes très bas dans votre biorythme, vous savez qu’elles vont vous prendre le double, voire le triple du temps. Vous savez que si vous avez le courage de vous écouter et d’agir, vous allez les déplacez à des moments plus opportuns en terme de motivation et de concentration, alors là, oui, vraiment, vous serez efficace.

Tout est dans … le ventre ou le cœur

Mais revenons à cette bienveillance et à notre ressenti.

Vos tripes, vous savez, votre ventre…là où il y a des nœuds ou même plus haut là où vous pouvez plus respirer tellement le stress vous prend? Eh bien, c’est là que ça se passe. C’est là que vous devez reporter votre attention, toute votre attention. Et pas dans la tête qui vient vous dire toutes les injonctions que nous avons nommées plus haut (regard des autres, sérieux, performance…).

Quand vous êtes à l’écoute de tout cela, à VOTRE écoute, alors vous allez plus vous respecter.

Et si vous vous respectez, les autres vous respecteront.

 

 

 

Vivre le jour en le cueillant

Ecrit par admin sur . Publié dans Coaching, Coaching de Vie

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Vivre le jour en le cueillant…

Je ne vais pas vous laver le cerveau avec un autre Carpe Diem…

Quoique 🙂

J’ai testé et continue de tester depuis plus d’un an une autre façon d’appréhender mes journées. C’était l’été 2022, une pause estivale bien méritée après des mois d’une très dense activité, pause teintée de fatigue et de besoin de se poser.

Mon quotidien est bien rôdé, bien agendé, bien planifié  – pas pour rien si je donne aussi des formations sur la gestion du temps 😉

Mais là, j’avais envie pour une fois d’envoyer balader mon agenda et ma planification et de juste… vivre le jour!

M’est venue alors l’idée d’appréhender ces journées à domicile d’une nouvelle façon… Je souhaitais vous la partager ici.

Décomposer et ne pas planifier

Vivre le jour selon mon envie, selon mon ressenti, selon mon niveau de fatigue et mon niveau émotionnel. De ne plus me faire dominer par mon besoin mental de planifier, de prévoir et de dessiner chaque journée à l’avance.

Cela a d’abord passé par décomposer ma journée en micros instants et en passant chaque instant, l’un après l’autre, au filtre de mon ressenti. J’ai commencé dès le réveil et c’est ainsi que j’ai procédé:

  1. J’ouvre mes yeux au réveil, suis dans mon lit, et là, je me demande, dans mon corps UNIQUEMENT quel est mon ressenti d’envie sur juste la prochaine micro étape : se doucher? trainer au lit? boire un café?
  2. Quand je l’ai choisie et que j’y vais, je ne pense pas encore à la suite: je me laisse aller le plus complètement possible à juste vivre ce moment choisi (par exemple boire le café, et alors s’arrêter à son odeur, son goût, sa chaleur; écouter les bruits qui m’entourent…)
  3. Quand je parviens à la fin de cette activité, alors je retourne dans mon corps et le questionne: qu’est-ce qui résonne le plus pour juste après? La douche? Alors à nouveau, s’y plonger avec tous les sens…et tenter de vivre ce nouvel instant au plus proche du ressenti: l’odeur du gel douche, la sensation de l’eau, sa température, son effet sur le corps..
  4. Et ce n’est qu’une fois ceci terminé, que je vais à nouveau interroger mon ressenti sur l’envie de la suite…etc.

Les 4 jours de pause que j’avais vécus de cette façon m’avaient paru durer une longue semaine…Une pure bénédiction. Avec l’impression que je ne me faisais pas torturer mentalement par un besoin de contrôler, de maîtriser la suite et l’horaire, d’être dans l’attente, de stresser pour un rendez-vous…car même ces derniers étaient pris selon le ressenti 🙂

Oui, mais vivre le jour ? Au travail, on fait comment?

Oui, car vous allez me dire que tout ça c’est bien joli, mais ça fonctionne peut-être en vacances, peut-être sur une courte durée, et encore, ça va si on est seul, mais on fait comment avec les compagnons, les enfants, les amis??? On fait comment avec un boss, des clients et des collègues??

Eh bien, c’est là, où j’ai été moi-même surprise de la faisabilité de cette méthode pour mon quotidien tout au long de l’année. Bien entendu, il y aura des jours où ce sera plus évident que d’autres, mais l’essentiel c’est de l’intégrer un maximum, comme un nouveau réflexe…(car c’est bien ainsi que l’on change les habitudes: remplacer un vieux réflexe par un nouveau)

Voici quelques conseils pour que vous puissiez la tester :

  • Fixer ses rendez-vous et tâches dans l’agenda en toujours vérifiant au préalable, dans son corps UNIQUEMENT, comment la perspective de ce jalon dans l’agenda serait vécu à ce moment-là. (Je dédierai un blog à la rentrée pour détailler cette approche)
  • Dès le réveil, chaque jour, vérifier dans quel ordre, votre corps souhaite aborder les préparatifs de cette journée, vérifier quels vêtements il souhaite porter et quel déjeuner il souhaite manger
  • Dans vos trajets au travail, isoler des instants de ressenti où vous n’êtes que là, en déplacement, avec vos yeux qui contemplent, votre nez qui sent, vos mains qui touchent ou se touchent, vos oreilles qui entendent…
  • Dès les premiers moments au travail, décomposer la journée, la matinée en instants et ces instants, les vivre pleinement avec vos sens. Éviter les pensées mentales qui vont vous projeter sur la suite et, inévitablement, vous apporter du stress et de la charge mentale
  • Chaque réunion, chaque entretien devient à lui-même un instant à vivre, pleinement et simplement

Vivre le jour, oui, mais…la planification avec les autres dans tout ça?

Vivre avec les autres…Tout un programme, nous le savons!

Et quand on y réfléchit bien…Qu’est-ce qui rend la cohabitation difficile? Ce sont souvent des désaccords ou l’absence d’écoute des ressentis et des besoins des uns et des autres! On ne se met jamais d’accord sur une position (partir en Espagne ou en Italie, dormir la fenêtre fermée ou ouverte, maintenir ou modifier un projet en cours). Trancher sur une position, c’est très souvent créer des frustrations.

Tandis que si chacun est capable d’être à l’écoute de son ressenti et de ses besoins, et qu’ensuite ensemble, nous sommes capable de les échanger, alors nous avançons dans la même direction…avec plus de satisfaction et de sérénité 🙂

 

Le Courage de Dire

Ecrit par admin sur . Publié dans Coaching, Coaching de Vie

Le Courage de Dire

Le courage de dire…C’est au quotidien que je rencontre cette peur de dire, chez moi, chez vous, chez nous. Que ce soit au travail, à la maison, dans le couple et en amitié. En effet, je trouve incroyable comme cela s’avère compliqué de JUSTE dire les choses telles qu’elles sont, telles qu’elles sont ressenties. Et de les dire factuellement et simplement.

Par exemplecoaching suisse Le courage de dire, prenons la situation suivante, rencontrée en entreprise:

– Un collègue vous parle à plusieurs reprises sèchement et cela vous crée un grand malaise. Et vous le prenez même comme une attaque personnelle. Ce qui commence à entamer le lien de confiance entre vous et ce collègue. Malheureusement, fort souvent, vous vous taisez et la situation ne va pas s’améliorer. Par ailleurs, elle peut même dégénérer en conflit, à force de non-dits et de blessures répétées. Pourtant, si vous aviez pris le Courage de Dire assez rapidement, que ce serait-il passé? Et aussi, comment le dire ?

Dire ou ne pas dire…Telle est la question

Tout d’abord, je m’invite souvent à me poser les questions suivantes:

  • Que se passe-t-il en moi si je ne dis rien? (inconfort grandissant? colère? frustration?)
  • Quel risque concret y a-t-il si je m’exprime? (blesser une amitié, perdre un emploi, conflit?)
  • Y a-t-il une opportunité qui surgirait par la suite? (renforcer la collaboration, l’amitié, le lien?)

Si la balance de ces réponses me montre que je gagne à prendre soin de moi et qu’il y a une éventuelle opportunité future de le faire, alors je me lance. Au contraire, si je sens que mon équilibre intérieur n’est pas tant en danger et que les risques seraient trop grands ou que je n’aperçois aucune opportunité future – ni pour moi, ni pour l’autre, alors, je me tais.

Oui, mais comment dire ou ne pas dire ?

Au plus près de ce qui est vrai! Au plus près de votre ressenti, en votre âme et conscience 🙂 En effet, toujours, quand vous vous tenez aux faits, que vous dites votre ressenti, vos émotions, vos pensées qui se sont créés en vous et que vous exprimez votre besoin: alors souvent, en face, vous allez très souvent être surpris de rencontrer de l’écoute, de la compréhension et de la construction.

Au contraire, il est ironique de constater, que c’est quand vous voulez prendre trop de pincettes, que vous tournez autour du pot, que vous utilisez des mots « pour faire bien » et pour ne pas blesser et surtout que vous oubliez d’exprimer vos besoins, alors c’est la catastrophe et vous le faites: blesser !

Dans la bienveillance et le soin à soi

Vous l’avez compris: tout est question de bienveillance. Bienveillance tout d’abord à VOTRE encontre: le choix de dire m’apporte-t-il quelque chose ? Et bienveillance à l’autre: le dire et la manière dont vous allez le dire ne le blessera-t-il pas inutilement?

Malgré toute la bonne volonté et réflexion, et la poursuite de cette démarche, nous échouons: nous nous taisons alors qu’il faudrait parler – enfermés que nous sommes dans notre manque de courage. Ou alors nous parlons, mais les mots sortent de travers, sont mal perçus.

Mais l’important, c’est de s’observer et de se donner le courage de dire davantage, d’oser même échouer.

Saviez-vous que le regret de ne pas avoir assez dit les choses est un des plus grands regrets exprimés par les mourants?

Printemps…es-tu là?

Ecrit par admin sur . Publié dans Coaching, Coaching de Vie

Printemps…

La nature encore indécise alors que nous…oui!

Les fleurs sortent, mais il gèle le matin. Envie de se projeter mais encore retenu.

L’ouverture et à la fois encore la somnolence…La fermeture, la peur peut-être aussi de vraiment se réjouir du retour des beaux jours, …se réjouir du coaching Neuchâtelretour des beaux jours …sous tous les sens du terme…!

Difficile, quand on regarde ce qu’il se passe tout autour de nous.

Dualité.

Se laisser aller à la joie d’être ici, maintenant, à chaque instant? D’être vivant et de voir les fleurs germer jour après jour? Car chaque jour il y a des fleurs que l’on peut voir germer…

Ou se laisser aller à se refermer sur ses peurs, sur ses craintes? Et se projeter plus tard, plus loin dans forcément quelque chose qui est inconnu et qui donc fait peur?

A qui appartient le choix ? Le choix nous appartient aujourd’hui, ici, maintenant, d’être dans la joie ou dans la peur, de faire germer le printemps ou de rester dans l’hiver.

Pour ma part, c’est décidé: je me mets en mode printemps!

  • Emménager mon balcon terrasse pour y célébrer la joie et le bien-être
  • Tri des habits de soleil et de couleurs
  • Nettoyage détox de printemps pour le corps
  • Et surtout, surtout… me laisser aller à la joie 🙂

Et vous? Qu’allez-vous décider ? Quel est votre choix ?
Je vous souhaite à toutes et à tous le meilleur des choix: qu’il soit joyeux, coloré, léger

Dire Non

Ecrit par admin sur . Publié dans Coaching, Coaching de Vie

Dire non…

Pff… Pas facile!

Par contre, la bonne nouvelle c’est qu’il y a plein de trucs et astuces, vidéos, formations pour se former au dire non. Allez, pour le fun, je vous en mets ci-bas, par étapes:

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  1. Énoncer clairement l’impossibilité de répondre par la positive.
  2. Montrer un peu d’empathie
  3. Tenir bon
  4. Venir avec une suggestion qui respecte votre agenda/votre énergie/vos choix
  5. (cela nécessite toutefois que vous soyez au clair sur votre agenda et vos priorités prof et perso)
  6. Ce qui est important, c’est que cela fonctionne comme une co-construction. Je ne dis pas non à l’autre, mais oui, mais non…Je veux bien l’aider, mais pas au dépend de mon propre équilibre. Donc oui, mais pas exactement comme il le demande…

Après…on prend connaissance de ces outils, on suit les formations, … Mais est-ce réellement plus facile ?

Oui, mais…non!

Qu’est-ce qui rend si difficile ce non?

Et c’est là, qu’une multitude de bagages et de tensions viennent nous servir de boulets… De très lourds boulets que l’on traine avec nous, parfois depuis longtemps. Il est encore assez aisé de les reconnaître et de les définir:

  • notre éducation (je vous renvoie à l’excellent concept  Drivers développé par Taïbi Kahler)
  • la peur de blesser et de ne plus être aimé
  • la crainte de paraître impoli, incompétent…ou pire : pas à la hauteur
  • euh…je continue?

Une fois que ceux-ci ont été identifiés, que fait-on?

Extérioriser le non

Nous avons des outils, nous connaissons nos freins… Mais ça reste difficile!

Quelle est ma recette ?

  • les ingrédients: un mélange d’observation, d’évaluation et de choix, mêlés de bienveillance à soi et aux autres et d’acceptation que l’on ne pourra pas toujours réussir à le faire.

La préparation de la recette:

  1. Observer dans votre corps le degré d’inconfort créé par une situation où vous souhaiteriez dire non (dans le ventre? Le cœur? La tête? Noués? Bloqués?)
  2. Évaluer si le niveau d’inconfort corporel est plus important que l’idée de faire/d’agir à contrecœur
  3. Si la réponse est oui au n°3, décider de ce qui est important pour vous
  4. Créer un ancrage fort sur ce qui est important (respiration et image nette). Exemple: un moment en famille dans la joie rendu possible par du temps libéré suite au fameux non)
  5. Là, vous devriez être prêt à exprimer le non (comme plus haut ou comme vous le souhaitez)
  6. Et…si ce non n’est pas sorti, ajoutez quelques pincées de bienveillance et d’acceptation. Au passage, vous aurez réussi quoi qu’il arrive à déjà opérer un beau moment de recul sur vous-même.

Toute ma bienveillance vous accompagne au quotidien sur ce chemin parsemé de oui, mais non.

 

Rire, c’est bon pour la santé

Ecrit par admin sur . Publié dans Coaching, Coaching de Vie

Rire, c’est bon pour la santé

Imaginons une drogue qui permettrait de booster l’humeur, la circulation sanguine, la digestion et qui réduirait le stress? En plus, elle serait gratuite! Qui en veut?  Mais qu’est-ce qui fait alors que nous n’en prenons pas autant?? Pourquoi?? Elle est juste là, sous la main! Et c’est de notoriété publique: rire c’est bon pour la santé!rire c'est bon pour la santé coaching

Pourquoi tu ris pas ?

Ça fait mal quand tu ris?

Un peu d’humour qui date dans ce lien. Mais qui devrait vous décrocher quelques rires.

Cependant, qu’est-ce qui fait que nous n’en usions pas autant qu’il serait bon pour nous?

Parfois, je m’observe me laisser aller à la morosité ambiante. Et il n’en manque pas en ce moment… Parfois, j’observe aussi que je me complais dans ces moments de spleen où toutes les raisons sont bonnes pour s’y engouffrer: parce qu’il fait gris et brouillard. Que l’hiver est de retour. Que les journées sont plus courtes. Qu’il fait froid…

Je me regarde aussi parfois me laisser engluer dans des pensées sombres, faites dee doutes, d’attentes. Et c’est comme un grand poids qui n’imagine pas viable dans ce même temps toute la légèreté du rire.

Faire entrer le rire dans la morosité

Qu’est-ce qui fait que, tout d’un coup, l’ouverture se fait? Qu’est-ce qui permet, dans la sombre pièce du spleen et de la morosité, d’enfin faire entrer un rai de lumière? J’ai beau y réfléchir et cela reste un mystère.

Il y a quelques jours, j’ai décidé de moins regarder les informations, de m’entourer de plus de légèreté et alors le rire est entré et, irrésistible, il a tout illuminé, tout boosté sur son passage. Combien de temps me fera-t-il l’honneur de sa présence et de ses effets?

Tout ce que je peux VOUS souhaiter, c’est de vous faire contaminer par cette vague déferlante. Qu’elle attaque tout votre système immunitaire. Qu’elle vous protège et vous allège.

Bien à vous.

Laura

 

Syndrome de l’imposteur

Ecrit par admin sur . Publié dans Coaching, Coaching de Vie

Syndrome de l’imposteur…

Vous me questionnez souvent sur cette peur et ce syndrome de l’imposteur. Cette peur qui vient nous dire que nous ne sommes pas la personne que l’on voudrait être. Et, souvent, que ce sont les autres qui méritent d’y être. Pourquoi? Parce qu’ils sont plus expérimentés, plus habiles, plus intelligents.

Vous me demandez: comment combattre ce sentiment?

Si combattre signifierait le faire disparaître pour toujours…syndrome de l'imposteur coaching NeuchâtelJe vous réponds alors: c’est impossible. Impossible de complètement s’en débarrasser.

Cependant, c’est possible de s’y observer:

Cette annonce d’emploi vous fait envie. Mais le titre et les exigences vous paraissent être hors de votre portée… De l’expérience est demandée, vous n’en avez que peu ou pas. De la gestion d’équipe est au menu, mais vous n’avez jamais jusqu’ici réellement géré du personnel…

Vous rêvez peut-être de devenir indépendant, artiste, de complètement changer de métier…Mais qui êtes-vous pour pouvoir prétendre, à votre âge, devenir cette autre personne?

Qui est cet imposteur?

Oui. Qui êtes-VOUS?

C’est bien là, la question.

Et NON qui sont les AUTRES auxquels toujours vous vous comparez.

Alors, si la réelle question, c’est qui êtes-VOUS, je vous invite à vous y concentrer. Et quand vous le faites, quand vous plongez tout au fond de vous, là, dans votre cœur…qu’y trouvez-vous?

L’envie d’être vous et de vous donner toutes les chances de briller.

Je vous souhaite d’avoir beaucoup de ces plongées intérieures. Quelles soient nombreuses, malgré les inévitables remontées mentales qui, inexorablement, nous ramènent à nager dans le syndrome. Que ces brasses soient brèves et courtes.

Avec bienveillance, observez-vous faire ces allers-retours. Et profitez de ces moments de brillance pour vous lancer! Postulez avec le cœur à cette annonce où vous ne correspondez pas en tous points. Présentez-vous à cet entretien où vous avez envie d’avancer votre carrière. Profitez de ces instants de lumière pour faire avancer vos projets. Devenez cet autre que vous pensez ne pas pouvoir être: un seul pas vous en sépare.

Et, si vous avez besoin d’un petit coup de pouce, parfois, un peu d’accompagnement peut aider 🙂

 

Atteindre la perfection

Ecrit par admin sur . Publié dans Coaching, Coaching de Vie, Formation

Atteindre la perfection…

La course d’une vie…de toute la vie!

Partout, dans tous les domaines, il y a cette barre que nous voulons atteindre. L’employé à qui on ne reprocherait rien. Le responsable qui gère bien son équipe et atteint ses objectifs. La personne sur qui les autres peuvent compter. Ou encore le revenu parfait. La maison parfaite. Mère/père, fils/fille, amant/e, ami(e) parfaits…

Nous voulons être apprécié, reconnu.  Nous voulons briller par nos compétences.

Mais cette course, n’est-ce pas, ne s’arrêtera jamais! Cela, nous le savons.

Cependant, nous continuons à nous essouffler, à nous torturer, toujours et encore…

Et que se passe-t-il quand nous sommes face à nos erreurs, à notre incapacité d’y arriver et surtout d’y rester? Oh horreur et peur! Nous nous tapons sur les doigts et recommençons de plus belle cette poursuite sans fin.

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Mais de quoi avons-nous davantage peur?

La réponse que vous me donnez tous et toutes quand je vous accompagne dans ces questionnements, c’est: le regard des autres.

Vraiment?

Si nous creusions un peu..?

Quand nous entendons cette personne pointer du doigt une erreur commise…Où est-ce que ça fait mal? A l’intérieur de nous-même: une boule quelque part entre la gorge et le ventre…c’est selon.

Quand nous devons renoncer à rendre un travail aussi complet que nous l’aurions souhaité…Où est-ce que ça vient travailler? A l’intérieur de nous-même: une espèce de nœud ou de charge au niveau de la tête, mêlés de culpabilité…c’est selon.

Et qui vient nous dessiner et décide de maintenir cette barre à atteindre? C’est souvent une marque issue de nos schémas parentaux/familiaux et de nos expériences de vie. Mais qui nous force à la maintenir et à nous flageller avec? C’est nous-même.

L’enfer, c’est les autres? Et si la plus grande souffrance ne provenait pas du regard des autres?

L’observation

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Et si c’est l’observation qui nous sauvait?

Observation de mes peurs

Car je dois avouer, ces derniers mois, ces dernières semaines surtout, j’ai eu peur. Oui, j’ai réalisé par l’observation que j’avais peur. Peur de ne pas être en bonne santé, de ne pas retrouver l’amour, de manquer d’argent. Peur d’être rejetée par des autres qui penseraient que je ne pense pas comme eux.

Qu’allais-je faire de cette peur? La laisser me prendre tout entière et me laisser descendre dans des abysses de paralysie et de déprime? J’avoue…je n’y suis pas passée loin.

Et puis surtout, quelle honte, non? Pour une personne qui accompagne les autres à accepter leurs peurs et les transmuter…Comment pouvais-je me permettre d’y rester et de m’y enliser!?

L’expérience de l’observation

Tant que je combattais cette peur car je ne voulais ni l’accepter ni la reconnaitre, eh bien, elle prenait de plus en plus de place en moi, sournoisement.

Un matin, je me suis mise dans l’observation en me disant que j’avais le droit de la ressentir, car les émotions – n’est-ce pas? – font partie de notre humanité.

Et, plutôt que de la combattre, cette peur, je les accueillie. Je l’ai prise là dans le creux de mes mains. Et, dans une observation teintée de bienveillance, je l’ai respirée, humée, ressentie dans mon corps.

Alors, un autre matin, je me suis levée et la peur était passée au second plan: c’est l’observation qui prenait une place rassurante.

Bien sûr, je sais que cet équilibre est fragile, que notre humanité nous appelle à vivre des éternels vas-et-viens entre le confort et l’inconfort, entre les creux et les hauts de vague.

Je vais essayer de la garder, là, près de moi, le plus possible, cette amie Observation. Comme une barque à portée de mains qui peut m’accompagner dans les hauts et les bas. Et je la remercie de m’avoir procuré cet apaisement bienvenu.

Est-ce cela que beaucoup appellent le lâcher-prise, le recul? Aujourd’hui, Observation me parle davantage et je voulais vous la susurrer à l’oreille.